Ayant fait, récemment, l'acquisition des deux poupées de
Lincoln Burrows et
Michael Scofield, produites par
Hot Toys, sous la licence
Prison Break, j'en suis venu à me poser une question, que je m'étais déjà posée, il y a presque deux ans, lorsque
Medicom a sorti sa poupée de
Wolverine, tirée du film
X-Men : L'Affrontement Final, à savoir :
Pourquoi certaines marques ne sortent-elles qu'une seule poupée - ou plusieurs poupées du même personnage - par licence Je me suis laissé dire que l'achat d'une licence était une démarche assez onéreuse, pour un fabricant de poupées 12 pouces, quel qu'il soit.
Et il m'avait alors semblé logique que seule une production de masse offrirait la possibilité à une marque, qui a investi une grosse somme dans une licence cinématographique ou télévisuelle, de "rentrer dans ses frais".
Aussi, pourquoi certaines marques, comme
Medicom,
Hot Toys ou
Sideshow, décident, après avoir apparemment dépensé une petite fortune dans l'achat d'une licence, de ne produire qu'une ou deux poupées, sous cette même licence (en quantités limitées, de surcroît)
Pour citer l'exemple de la poupée
Medicom de
Wolverine, issue de
X-Men III, le fabricant japonais aurait pu produire des figurines d'autres personnages du long-métrage.
Tornade,
Magneto,
Cyclope et que sais-je encore...
Pour ce qui concerne
Hot Toys, pourquoi la marque s'est-elle contentée de ne produire que deux versions de chacune des poupées de
Lincoln Burrows et
Michael Scofield Ces deux personnages sont-ils réellement, d'après la marque, les deux seuls protagonistes de la série
Prison Break à avoir de l'intérêt, pour un collectionneur de "12 pouces"
Pour ce qui me concerne, j'aurais pu être particulièrement intéressé par des poupées d'autres personnages de la série, tels que
Fernando Sucré,
T-Bag, l'Agent du FBI
Alex Mahone et
Paul Kellerman, l'homme de main de la Vice-Présidente...
N'y a-t-il qu'une raison économique qui explique que certaines marques choisissent de ne pas exploiter, pleinement, une licence
Quel est votre avis
Et, dans le même temps, quelles licences votre fabricant favori n'a-t-il pas, selon vous, totalement exploitées